Le calvaire des Vénézuéliens pauvres pour que leurs défunts reposent en paix
L'odeur nauséabonde s'était répandue dans tout le quartier. Pendant trois jours, le cadavre de Wenceslao gisait sur son lit parce que sa famille n'avait pas d'argent pour l'enterrer. Pour les Vénézuéliens les plus pauvres, inhumer leurs proches est devenu un calvaire.
De telles histoires ne sont...